Grande traversée – 2/2

Et puis le bide se transforme en béton armé. On se remet à écrire (lundi 15 avril).

Nouveau problème, je passe des heures à lire et j'attaque les séries sur le PC (oui, réparation d'un transfo entre-temps). Le tout à l'intérieur part 20nds de vent arrière en ciseau avec de la grosse houle/vague croisée...tu veux de la mayo ? Met tes ingrédients dans un grand pot, une fourchette dedans et le tout bien calé. Mieux vaut surveiller, même quand c'est bien calé, ça se casse quand même la gueule par terre En quelques minutes c'est réglé !

Et le soleil revient.

Et on met les choses à plat (avec évocation pour moi de garder la possibilité de rester à Hawaï).

Et les dauphins viennent tous les jours, du moins jusqu'à ce qu'on atteigne le milieu de la distance ; tout comme quelques puis un seul Albatros (dit aussi « oiseau stupide » en Polonais).

Et on se met à pêcher du thon (oui monsieur, on joue pas aux billes ici monsieur). On le déguste ce soir, en Sashimis...enfin cru avec du citron, vinaigre et soju.

Et puis voilà quoi, c'est pas facile ; nuits moyennes (se reporter à l'effet mayonnaise) ; mais quand même c'est pas mal et on est content ! C'est bien l'essentiel.

Un peu pressé d'arriver à Hawaï quand même à l'heure où j'écris ces lignes (samedi 20 avril).