Très différemment en traversée.
En fonction du temps
principalement.
Autant entre le continent
Américain et Hawaï (pourquoi Hawaï en Français et pas Hawaii
comme là bas d'ailleurs?) c'était une vraie épreuve.
Autant celle-là, ça passe tout
seul.
Mais vraiment tout seul.
En gros à part les nuits
difficiles à cause de la chaleur et des micro-pluies qui t'obligent
à fermer les hublots. Du coup tu te rendors mais te réveille comme
dans un four.
Et bah le temps passe tout seul !
La principale activité étant de
conjuguer spot confortable, et à l'ombre.
Ce qui en langage terrien
signifie :
Permet de rester sur la partie
choisie de son corps sans se retrouver le cul par terre (ou dans la
flotte, ou fouetté par l'écoute de spi, ou .. j'arrête la liste
là, elle est infinie)
Et, ne fait pas trop mal à cette
partie choisie.
Garder une bonne circulation et
ne pas se retrouver avec des fourmis en moins de 10 minutes. Parce
que poser les jambes sur les rambardes ça permet de tenir son corps
relativement confortablement, mais le sang s'en retrouve vite bloqué.
Dommage, l'aération était bien aussi !
Être à l'air libre et profiter
de la brise. Parce qu'à l'ombre ça suffit pas, on est quand même à
coté de l'Equateur, fait chaud pour de vrai, même sur l'eau.
Penser à tout AVANT. Parce que
pinailler 15 ans pour bien se caler, pour au final se dire qu'on a
envie de pisser/boire un coup/oublié son livre...c'est ballot.
Quand tout est réunit, en
profiter à fond. Car le bateau fait toujours des mouvements
insoupçonnés, le soleil tourne, la vague de la journée menace, si
c'est pas elle ça peut être l'averse de l'aprêm.
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